Plusieurs publications récemment signalées dans le BuSCA concernent des cas d’anisakidose humaine ou d’allergie, induits par l’ingestion de larves d’Anisakidae parasitant des invertébrés ou des poissons. Le BuSCA fait le point sur ce parasitisme et son impact au regard des pratiques de consommation actuelles.
Teneurs maximales de contaminants, valeurs toxicologiques de référence, doses critiques… Ceux de nos lecteurs qui sont plus familiers des dangers biologiques ont parfois été déroutés par ces termes que l’on retrouve dans les brèves consacrées aux contaminations chimiques.
Streptococcus agalactiae n’est pas considéré à ce jour comme un danger biologique transmissible par les aliments. Cependant, la FAO prévoit la mise en place en septembre 2020 d’un groupe d’experts, suite à l’importante TIAC observée à Singapour en 2015. Cette TIAC était liée à une souche particulière de sérotype III et de séquence type ST-283 et à la consommation de poisson d’eau douce cru.
La période des fêtes 2019-2020 a été marquée, en France et en Europe, par un nombre important de cas groupés de gastro-entérites pour lesquels la source présumée est la consommation d’huîtres contaminées par norovirus [1].